Musique

MC Solar – Caroline

Un peu de nostalgie. 1994 – MC Solar interprète « Caroline » à Taratata. Une chanson devenue culte.


J’étais cool, assis sur un banc, c’était au printemps
Ils cueillent une marguerite, ce sont deux amants
Overdose de douceur, ils jouent comme des enfants
Je t’aime un peu, beaucoup, à la folie, passionnément
Mais à la suite d’une douloureuse déception sentimentale
D’humeur chaleureuse je devenais brutal
La haine d’un être n’est pas dans nos prérogatives
Tchernobyl, tcherno-débile ! jalousie radio-active
Caroline était une amie, une superbe fille
Je repense à elle, à nous, à nos cornets vanille
A sa boulimie de fraises, de framboises, de myrtilles
A ses délires futiles, à son style pacotille

Je suis l’as de trèfle qui pique ton cœur
L’as de trèfle qui pique ton cœur
L’as de trèfle qui pique ton cœur
L’as de trèfle qui pique ton cœur, Caroline

Comme le trèfle à quatre feuilles, je cherche votre bonheur
Je suis l’homme qui tombe à pic, pour prendre ton cœur
Il faut se tenir à carreau, caro ce message vient du cœur
Une pyramide de baisers, une tempête d’amitié
Une vague de caresse, un cyclone de douceur
Un océan de pensées, Caroline je t’ai offert un building de tendresse
J’ai eu une peur bleue, je suis poursuivi par l’armée rouge
Pour toi j’ai pris des billets verts, il a fallu qu’je bouge
Pyromane de ton cœur, canadair de tes frayeurs
Je t’ai offert une symphonie de couleurs
Elle est partie, maso
Avec un vieux macho
Qu’elle avait rencontré dans une station de métro
Quand je les vois main dans la main fumant le même mégot
Je sens un pincement dans son cœur, mais elle n’ose dire un mot

Je suis l’as de trèfle qui pique ton cœur
L’as de trèfle qui pique ton cœur
L’as de trèfle qui pique ton cœur
L’as de trèfle qui pique ton cœur, Caroline

Claude MC prend le microphone genre love story ragga muffin
Pour te parler d’une amie qu’on appelle Caroline
Elle était ma dame, elle était ma came
Elle était ma vitamine
Elle était ma drogue, ma dope, ma coke, mon crack
Mon amphétamine, Caroline

Je repense à elle, femme actuelle, 20 ans, jeune et jolie
Remets donc le film à l’envers, magnéto de la vie
Pour elle, faut-il l’admettre, des larmes ont coulé
Hémorragie oculaire, vive notre amitié
Du passé, du présent, je l’espère du futur
Je suis passé pour être présent dans ton futur
La vie est un jeu d’cartes
Paris un casino
Je joue les rouges cœur, Caro

Je suis l’as de trèfle qui pique ton cœur
L’as de trèfle qui pique ton cœur
L’as de trèfle qui pique ton cœur
L’as de trèfle qui pique ton cœur, Caroline

Par |2017-02-25T08:58:19+00:00février 25th, 2017|Blog, Musique|0 commentaire

Benjamin Biolay – meilleur album de chansons

Benjamin Biolay, nommé aux Victoires de la Musique dans la catégorie « Meilleur artiste masculin » remportée par Renaud, s’est consolé en remportant la catégorie album de chanson pour « Palermo Hollywood ». Si vous ne le connaissez pas encore, voici ci-dessous un petit reportage sur cet artiste aujourd’hui incontournable dans la chanson française.


Rencontre avec Benjamin Biolay

Une de mes chansons préférées de Benjamin Biolay, déjà présentée sur le blog il y a quelques années et aussi étudiée en classe avec certains de mes groupes, un très joli texte: Ton héritage.

Si tu aimes les soirs de pluie
Mon enfant, mon enfant
Les ruelles de l’Italie

Et les pas des passants
L’éternelle litanie
Des feuilles mortes dans le vent
Qui poussent un dernier cri
Crie, mon enfantSi tu aimes les éclaircies
Mon enfant, mon enfant
Prendre un bain de minuit
Dans le grand océan
Si tu aimes la mauvaise vie
Ton reflet dans l’étang
Si tu veux tes amis
Près de toi, tout le temps

Si tu pries quand la nuit tombe
Mon enfant, mon enfant
Si tu ne fleuris pas les tombes
Mais chéris les absents
Si tu as peur de la bombe
Et du ciel trop grand
Si tu parles à ton ombre
De temps en temps

Si tu aimes la marée basse
Mon enfant, mon enfant
Le soleil sur la terrasse
Et la lune sous le vent
Si l’on perd souvent ta trace
Dès qu’arrive le printemps
Si la vie te dépasse
Passe, mon enfant

{Refrain:}
Ça n’est pas ta faute
C’est ton héritage
Et ce sera pire encore
Quand tu auras mon âge
Ça n’est pas ta faute
C’est ta chair, ton sang
Il va falloir faire avec
Ou, plutôt sans

Si tu oublies les prénoms
Les adresses et les âges
Mais presque jamais le son
D’une voix, un visage
Si tu aimes ce qui est bon
Si tu vois des mirages
Si tu préfères Paris
Quand vient l’orage

Si tu aimes les goûts amers
Et les hivers tout blancs
Si tu aimes les derniers verres
Et les mystères troublants
Si tu aimes sentir la terre
Et jaillir le volcan
Si tu as peur du vide
Vide, mon enfant

{au Refrain}

Si tu aimes partir avant
Mon enfant, mon enfant
Avant que l’autre s’éveille
Avant qu’il te laisse en plan
Si tu as peur du sommeil
Et que passe le temps
Si tu aimes l’automne vermeil
Merveille, rouge sang

Si tu as peur de la foule
Mais supportes les gens
Si tes idéaux s’écroulent
Le soir de tes vingt ans
Et si tout se déroule
Jamais comme dans tes plans
Si tu n’es qu’une pierre qui roule
Roule, mon enfant

{au Refrain}

Mon enfant

Par |2017-02-22T05:18:54+00:00février 22nd, 2017|Blog, Musique|0 commentaire

CHRISTOPHE MAÉ « Marcel » – Victoires de la musique 2017

Plein de très bonnes prestations lors des dernières Victoires la Musique 2017!

Ci-dessous, nommé dans la catégorie « Album chansons de l’année »: Christophe Maé « Marcel ». Une belle chanson dédiée à son fils.


Moi, je suis comme Marcel
Un éternel enfant
Je lui fais la courte échelle
Pour qu’il traverse le temps

Je lui dirai les quatrelles
Et les droites de Cerdan
Et les chansons de Cabrel
Que je lui chante en l’endormant

Allez, joue gamin, joue gamin
Vas-y, joue dans le vent
Allez, joue gamin, joue gamin
Tu auras bien le temps
Allez, joue gamin, joue gamin
Laisse encore un instant
Sur ma joue ta main, c’est soulageant

Et que le vent t’emmène
Et que le temps t’apprenne
Où que le vent te mène
Oh sois le même

Je t’apprendrai les voyelles
Toi, tu liras les romans De Pagnol, tu sais, Marcel
Tu en as déjà l’accent
Je ferai que ta vie soit belle
Tu fais partie de mon clan
Tu chanteras cette ritournelle
Un jour, peut-être, à tes enfants

Allez, joue gamin, joue gamin
Vas-y, joue dans le vent
Allez, joue gamin, joue gamin
Tu auras bien le temps
Allez, joue gamin, joue gamin
Laisse encore un instant
Sur ma joue ta main, c’est soulageant

Et que le vent t’emmène
Et que le temps t’apprenne
Où que le vent te mène
Oh sois le même

Et que le vent t’emmène
Et que le temps t’apprenne
Où que le vent te mène
Faites qu’il te ramène

La vie est un carrousel
Qui danse, tourne dans le vent
Y a des carrousels, des caravelles
Parfois, tu montes ; parfois, tu descends
La vie est un carrousel
Choisi ta place dedans
Ne choisis pas la plus belle
Mais celle qui te plaît vraiment

La vie est un carrousel
Qui danse, tourne dans le vent
Y a des carrousels, des caravelles
Parfois, tu montes ; parfois, tu descends
La vie est un carrousel
Choisi ta place dedans
Ne choisis pas la plus belle
Mais celle qui te plaît vraiment

Et que le vent t’emmène
Et que le temps t’apprenne
Où que le vent te mène
Oh sois le même

Et que le vent t’emmène
Et que le temps t’apprenne
Où que le vent te mène
Faites qu’il te ramène

CHRISTOPHE MAÉ « Marcel »

Par |2017-02-17T10:24:03+00:00février 17th, 2017|Blog, Musique|0 commentaire

Minuit – Flash – Victoires la Musique 2017

Victoires la Musique 2017 suite: nommé dans la catégorie « Révélation scène de l’année », le jeune groupe Minuit. J’adore ! Montez le son, c’est du rock !!


Lumière crue, lumière sombre, flash !
Étrange sensation, flash !
Écrans mauves et néons verts, flash !
Frisson électrique, électricité statique.

Dans le noir j’ai perdu mes repères,
Cours, cours, cours et fonds-toi dans la lumière.
Dans le noir j’ai perdu mes repères,
Cours, cours, cours et fonds-toi dans la lumière.
Et lâche, le flash !

Fumée bleue et néons rouges, flash !
Et si le sang te monte à la tête, flash !

Gélatine embuée autour de ta gorge serrée,
Long corridor, les sens à vif,
Si ton corps dort, sors donc tes griffes.

Dans le noir j’ai perdu mes repères,
Cours, cours, cours et fonds-toi dans la lumière.
Dans le noir j’ai perdu mes repères,
Cours, cours, cours et fonds-toi dans la lumière.
Et lâche, le flash !

Par |2017-02-17T10:25:31+00:00février 17th, 2017|Blog, Musique|0 commentaire

JULIEN DORÉ « Sublime et silence » aux Victoires de la Musique 2017

Victoires la Musique 2017 suite: une triste mais très jolie chanson de Julien Dorée « Sublime et silence »


Sublime & silence
Autour de moi tu danses
Et moi j’oublie
C’est à toi que je pense,
À ta bouche brûlante
Quand tu souris

Le vide aurait suffi
Le vide aurait suffi

Sublime & silence
Autour de toi tout tremble
Et tout finit
C’est à moi que tu penses
À nos ivresses blanches
Je fuis Paris

Le vide aurait suffi
Le vide aurait suffi
Mais je sais que tu restes
Dans les fleurs que j’te laisse

Après la nuit
Violence et promesse
C’est tout c’que tu détestes
La mort aussi

Le vide aurait suffi
Le vide aurait suffi

Je caresse ton absence
La montagne et l’errance
Et puis l’ennui
La rivière te ressemble
Au moins en apparence
Pourtant tu fuis

Le vide aurait suffi
Le vide aurait suffi

Mais je sais que tu restes
Dans les fleurs que j’te laisse
Après la nuit
Violence et promesse
C’est tout c’que tu détestes
La mort aussi

Le vide aurait suffi
Le vide aurait suffi
Mais je sais que tu restes
Dans les fleurs que j’te laisse
Après la nuit
Violence et promesse
C’est tout c’que tu détestes
La mort aussi

Mais je sais que tu restes
Mais je sais que tu restes

Sublime et silence

Par |2017-02-17T10:17:40+00:00février 17th, 2017|Blog, Musique|0 commentaire

VIANNEY « Je m’en vais » aux Victoires de la Musique 2017

Aussi aux Victoires la Musique 2017, le prix de la meilleure chanson de l’année, « Je m’en vais » de Vianney.


J’ai troqué mes cliques et mes claques
Contre des cloques et des flaques
Mon sac à dos pour oublier
Qu’avant c’est toi qui me pesais
Ce qui m’emmène, ce qui m’entraîne
C’est ma peine, ma peine plus que la haine
Oh ma route, oh ma plaine
Dieu que je l’aime

Et tournent, et tournent dans ma tête
Les images du long métrage
Où tu es belle et moi la bête
Et la belle n’est jamais sage
Quand tu diras que c’est ma faute
Que je n’ai jamais su t’aimer
Au diable toi et tes apôtres
Je m’en vais

Et ce qui perle sur mon front
Gouttes de pluie, gouttes de froid
Donne des ailes, donne dont
L’envie de m’éloigner de toi
Et mes larmes, et mes armes
Sont ma peine, ma peine plus que la haine
Et mes larmes, mes larmes
Dieu que j’ai mal

Et tournent, et tournent dans ma tête
Les images du long métrage
Où tu es belle et moi la bête
Et la belle n’est jamais sage
Quand tu diras que c’est ma faute
Que je n’ai jamais su t’aimer
Au diable toi et tes apôtres
Je m’en vais

Je m’en vais
Je m’en vais

Et tournent, et tournent dans ma tête
Les images du long métrage
OU tu es belle et moi la bête
Et la belle n’est jamais sage
Quand tu diras que c’est ma faute
Que je n’ai jamais su t’aimer
Au diable toi et tes apôtres
Je m’en vais
Je m’en vais

Par |2017-02-17T10:16:35+00:00février 17th, 2017|Blog, Musique|0 commentaire

Victoires de la musique 2017: Jain – Meilleure  artiste féminine de l’année.

Déjà présentée ici il y a quelques mois, bien qu’elle chante en anglais, originaire de Toulouse, 25 ans, Jain a été sacrée hier meilleure artiste féminine de l’année et c’est vraiment mérité. Elle est tout simplement formidable!

Les autres lauréats, avec notamment le retour de Renaud (revenu de très loin!), dans cet article du journal Le Monde.

Sa prestation aux Victoires

Le clip officiel

Par |2017-02-17T09:58:11+00:00février 11th, 2017|Blog, Musique|0 commentaire

Alma – Requiem – « 12 points ? »

Alma est une jeune artiste (pas très connue) aux influences diverses, elle a vécu entre la France, le Brésil, les États-Unis et l’Italie. C’est elle qui représentera la France en Ukraine au concours de l’Eurovision 2017. On lui souhaite bonne chance !

Requiem

Des amours meurent, des amours naissent
Les siècles passent et disparaissent
Ce que tu crois être la mort
C’est une saison et rien de plus
Un jour lassé de cette errance
Tu t’en iras quelle importance
Car la Terre tournera encore
Même quand nous ne tournerons plus

Embrasse-moi, dis-moi que tu m’aimes
Fais-moi sourire au beau milieu d’un requiem
Embrasse-moi, dis-moi que tu m’aimes
Fais-moi danser jusqu’à ce que le temps nous reprenne
Ce qu’il a donné
Un an, deux ans, cent ans de bonheur
Puis la vie te cueille comme une fleur
Fais-moi marrer j’en ai besoin
En attendant que sonne l’heure
Un an, deux ans, cent ans à deux
Et puis un jour on est tout seul
On pleure mais on survit quand même
C’est la beauté du requiem

Les étincelles deviennent des flammes
Les petites filles deviennent des femmes
Ce que tu crois être la mort
C’est un brasier et rien de plus
Nos déchirures, nos déchéances
On pense qu’elles ont de l’importance
Mais demain renaîtra le jour
Comme si nous n’avions pas vécu

Embrasse-moi, dis-moi que tu m’aimes
Fais-moi sourire au beau milieu d’un requiem
Embrasse-moi, dis-moi que tu m’aimes
Fais-moi danser jusqu’à ce que le temps nous reprenne
Ce qu’il a donné
Un an, deux ans, cent ans de bonheur
Puis la vie te cueille comme une fleur
Fais-moi marrer j’en ai besoin
En attendant que sonne l’heure
Un an, deux ans, cent ans à deux
Et puis un jour on est tout seul
On pleure mais on survit quand même
C’est la beauté du requiem

Des amours naissent, des amours meurent
Ce soir enfin je n’ai plus peur
Je sais que je t’aimerai encore
Quand la Terre ne tournera plus
Des amours naissent, des amours meurent
Ce soir enfin je n’ai plus peur
Je sais que je t’aimerai encore
Quand la Terre ne tournera plus

Embrasse-moi, dis-moi que tu m’aimes
Fais-moi sourire au beau milieu d’un requiem
Embrasse-moi, dis-moi que tu m’aimes
Fais-moi danser jusqu’à ce que le temps nous reprenne
Ce qu’il a donné
Ce qu’il a donné
Ce qu’il a donné
Ce qu’il a donné
Ce qu’il a donné

Par |2017-02-10T09:54:22+00:00février 10th, 2017|Blog, Musique|0 commentaire

Leur plus belle histoire d’amour c’est Barbara

Gérard Depardieu lance une année hommage à Barbara avec un splendide album de reprises et des concerts à partir de ce soir. Vingt ans après sa mort, elle hante toujours la chanson française.

Source : Leur plus belle histoire d’amour c’est Barbara – Le Parisien


Une de mes chansons préférées de Barbara:

Ma plus belle histoire d’amour

Du plus loin, que me revienne,
L´ombre de mes amours anciennes,
Du plus loin, du premier rendez-vous,
Du temps des premières peines,
Lors, j´avais quinze ans, à peine,
Cœur tout blanc, et griffes aux genoux,
Que ce furent, j´étais précoce,
De tendres amours de gosse,
Ou les morsures d´un amour fou,
Du plus loin qu´il m´en souvienne,
Si depuis, j´ai dit « je t´aime »,
Ma plus belle histoire d´amour, c´est vous,

C´est vrai, je ne fus pas sage,
Et j´ai tourné bien des pages,
Sans les lire, blanches, et puis rien dessus,
C´est vrai, je ne fus pas sage,
Et mes guerriers de passage,
A peine vus, déjà disparus,
Mais à travers leur visage,
C´était déjà votre image,
C´était vous déjà et le cœur nu,
Je refaisais mes bagages,
Et poursuivais mon mirage,
Ma plus belle histoire d´amour, c´est vous,

Sur la longue route,
Qui menait vers vous,
Sur la longue route,
J´allais le cœur fou,
Le vent de décembre,
Me gelait au cou,
Qu´importait décembre,
Si c´était pour vous,

Elle fut longue la route,
Mais je l´ai faite, la route,
Celle-là, qui menait jusqu´à vous,
Et je ne suis pas parjure,
Si ce soir, je vous jure,
Que, pour vous, je l´eus faite à genoux,
Il en eut fallu bien d´autres,
Que quelques mauvais apôtres,
Que l´hiver ou la neige à mon cou,
Pour que je perde patience,
Et j´ai calmé ma violence,
Ma plus belle histoire d´amour, c´est vous,

Mais tant d’hiver et d’automne
De nuit, de jour, et personne,
Vous n´étiez jamais au rendez-vous,
Et de vous, perdant courage,
Soudain, me prenait la rage,
Mon Dieu, que j´avais besoin de vous,
Que le Diable vous emporte,
D´autres m´ont ouvert leur porte,
Heureuse, je m´en allais loin de vous,
Oui, je vous fus infidèle,
Mais vous revenais quand même,
Ma plus belle histoire d´amour, c´est vous,

J´ai pleuré mes larmes,
Mais qu´il me fut doux,
Oh, qu´il me fut doux,
Ce premier sourire de vous,
Et pour une larme,
Qui venait de vous,
J´ai pleuré d´amour,
Vous souvenez-vous?

Ce fut, un soir, en septembre,
Vous étiez venus m´attendre,
Ici même, vous en souvenez-vous?
A vous regarder sourire,
A vous aimer, sans rien dire,
C´est là que j´ai compris, tout à coup,
J´avais fini mon voyage,
Et j´ai posé mes bagages,
Vous étiez venus au rendez-vous,
Qu´importe ce qu´on peut en dire,
Je tenais à vous le dire,
Ce soir je vous remercie de vous,
Qu´importe ce qu´on peut en dire,
Je suis venue pour vous dire,
Ma plus belle histoire d´amour, c´est vous…

Par |2017-02-09T15:33:35+00:00février 9th, 2017|Blog, Musique|0 commentaire
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