Nouveau titre de Benjamin Biolay. Je suis fan !

J’ai lâché le téléphone comme ça
En ce beau matin d’automne pas froid
Ça ressemblait à l’été sauf que tu n’y étais pas

Puis j’ai regardé le ciel d’en bas
Indécis, voulais-je y monter ou pas ?
Mais savais que j’étais fait, que j’étais fait comme un rat

[Refrain]
Comment est ta peine ?
La mienne est comme ça
Faut pas qu’on s’entraîne
À toucher le bas
Il faudrait qu’on apprenne
À vivre avec ça
Comment est ta peine ?
La mienne s’en vient, s’en va
S’en vient, s’en va

J’ai posé le téléphone comme ça
J’peux jurer avoir entendu le glas
J’aurais dû te libérer avant que tu me libères, moi

J’ai fait le bilan carbone trois fois
Tu parlais de ta daronne sur un ton qu’tu n’aimerais pas
Tu ne le sauras jamais car tu ne l’écoutes pas

[Refrain]
Comment est ta peine ?
La mienne est comme ça
Faut pas qu’on s’entraîne
À toucher le bas
Il faudrait qu’on apprenne
À vivre avec ça
Comment est ta peine ?
La mienne s’en vient, s’en va
La mienne s’en vient, s’en va

Dis, comment sont tes nuits
Et combien as-tu gardé de nos amis ?
Comment est ta peine ?
Est-ce qu’elle te susurre de voler de nuit ?

Comment va ta vie ?
Comment va ta vie ?

(La même, comme ça, comme ci)

[Refrain]
Comment est ta peine ?
La mienne est comme ça
Faut pas qu’on s’entraîne
À toucher le bas
Il faudrait qu’on apprenne
À vivre avec ça
Comment est ta peine ?
La mienne s’en vient, s’en va
S’en vient, s’en va, s’en vient, s’en va